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PUBLICATIONS (REVUES ET OUVRAGES)
ASPECTS THÉORIQUES
DÉMARCHE PÉDAGOGIQUE
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Une telle problématique sous-tend l’idée d’une forme de rupture entre le plaisir immédiat et le désir d’apprentissage. À l’école plus qu’ailleurs, ces deux notions semblent incompatibles : l’apprentissage est généralement associé au travail, au sérieux, à l’effort alors que le plaisir est plus souvent rapporté au jeu, au futile, au secondaire. En EPS également, la centration sur les contenus d’enseignement, donc sur les apprentissages, relègue au second plan l’intérêt et la prise en compte du plaisir d’agir des élèves. (...)
Une étude a été réalisée dans le cadre du projet européen « Job & Sport : l’intégration par le sport des jeunes défavorisés sur le marché du travail ». Cinq pays européens y ont participé. L’objectif de ce projet était d’intégrer les jeunes défavorisés sur le marché du travail grâce à l’amélioration de leurs compétences sociales. Les activités sportives ont été utilisées comme outil médiateur de cette acquisition. La typologie conative de Gilles Bui-Xuân (1993) a servi de grille d’interprétation commune.
Un article synthèse de la pensée de Jérôme Bruner. La culture peut être partagée par le récit, dont la fonction de relier les hommes et les connaissances est mise à l'honneur dans cet article.
Pour aller plus loin, nous conseillons Culture et modes de pensée, du même auteur (2008). Le tissage entre les théories conatives, la notion de plaisir, et l'oeuvre de Jérôme Bruner est évident. En voici un court extrait (p.149) :
Au plan le plus général, la culture est en permanence un processus de récréation : elle est sans cesse interprétée et renégociée par ceux qui y participent.C'est dire qu'elle est à la fois un forum où se renégocie la signification, et un ensemble de règles et de spécfications permettant d'expliquer l'action telle qu'elle se réalise.
En écho, nous pouvons également citer Gaston Berger dans L’Homme moderne et son éducation :
"Toute culture véritable est prospective. Elle n’est point la stérile évocation des choses mortes, mais la découverte d’un élan créateur qui se transmet à travers les générations et qui, à la fois réchauffe et éclaire. C’est ce feu, d’abord, que l’Education doit entretenir."
Les pédagogies fondées sur la mobilisation considèrent, comme le disait Edouard Claparède (Psychologie de l’enfant et pédagogie expérimentale, p.252), qu’il ne s’agit nullement de permettre à l’autre de « faire tout ce qu’il veut, mais de vouloir tout ce qu’il fait ». Ici, nous nous attachons à penser, à dire et à faire vivre des expériences porteuses de significations du point de vue de celui qui les vit, celles qui se partagent dans une véritable culture de la rencontre, autant que celles qui permettent aussi, parfois, de tracer son propre chemin. Dans cette voie,
Bienvenue donc sur un site consacré à nos travaux, propositions et témoignages de ce qui n’a de nouveau que la mise en relation de ce qui existe déjà, dans la perspective que chacun puisse vivre des expériences qui le conduisent à faire et à penser encore autrement.
Le conatus, un concept d'origine philosophique |
Les principes d'une pédagogie socio-conative |
Le modèle d'analyse du parcours d'expérience (MAPE, 2018) |
Quelques verbes pour situer l'activité des élèves (outil de formulation des objectifs)
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Vos élèves sont-ils mobilisés ? Apprendre à les reconnaitre |
Une évaluation qui met en évidence le progrès plutôt que la réussite |
Vos élèves se sentent-ils considérés comme des personnes ? |
Eduquer à l'incertitude, oui mais comment ? |
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Billet de blog de Marc Bablet, Inspecteur d'académie, inspecteur pédagogique régional retraité) |
Philippe Meirieu se positionne sans ambage : "(...) il faudrait remplacer, en matière pédagogique, le terme de « motivation » par celui de « mobilisation » : pour signifier clairement que le rôle du pédagogue n’est pas d’attendre que le désir émerge (...) |